suivi de : Source de la Loue
Trois cahiers et un sonnet au long cours – celui d’une rivière de ce pays –, avec des chansons qui scandent le temps de leur passage. Quelqu’un écrit dans ce temps, prend alors un papier neuf ligné ou à carreaux, laissant par timidité la première page blanche et recopiant comme autrefois “au propre” les quelques bouts de quelque chose qui deviendront peut-être si l’on peut dire ça – un poème – ou bien vont rester là perdus, bientôt orphelins. Et dans une autre attente : de votre lecture.